La harpe sacrée... ici il n'est pas question de l'Irlande et encore moins de l'instrument. En fait le terme "Sacred Harp" désigne une tradition de chorale et de musique sacrée a capella, donc sans aucun instruments (pas même un orgue). Elle est encore de nos jours pratiquée dans les églises baptistes et méthodistes du sud des états-unis.
La mélodie utilisée dans le chant « Sacred Harp »
est des plus bigarré. La plus ancienne de ces origines remonte au XVIIIe siècle
en Nouvelle-Angleterre, et représente une interprétation dans les notes de
forme de l'œuvre des premiers compositeurs américains tels que William Billings
et Daniel Read, qui avaient travaillés comme maîtres de chant. Une autre
origine dérive des années 1830, suite à la migration vers le Sud rural.
Beaucoup de ses chansons sont considérées comme se rapprochant d’airs laïques ou
« folkloriques », harmonisées et agrémentées de
paroles religieuses.
Ce type de chanson, s'est développé dans la Nouvelle-Angleterre coloniale comme un moyen d'amener les gens à mieux chanter dans les églises. Bien qu'elle ai pris ses racines dans une certaine forme de musique rurale anglaise, la "Sacred Harp" est véritablement né en 1844, en Caroline du Sud, dans l'Alabama et les montagnes des Appalaches, avec la publication du même nom de
Benjamin Franklin White et Elisée J. King 's.
Dès 1803, les notes avaient été mises en forme comme une méthode de lecture à vue. A priori, deux autres hommes, BF Blanc (1800-1879 de Caroline du Sud et EJ roi, de Géorgie, ont ensemble compilé, transcrit et composé des airs pour ce livre qui compte plus de 250 chansons religieuses. Livre qui depuis a été révisé et distribué sous d’autres formes.
Quelques exemples avec une chanson tiré d'une scène du film COLD MOUTAIN, d'un chant qu'accompagne toujours dans le même film la bataille du cratère à Petersburg en 1864. Et Calvary enfin...
I'M COMING HOME.
Farewell, vain world! I'm going home!
My savior smiles and bids me come,
And I don't care to stay here long!
Sweet angels beckon me away,
To sing God's praise in endless day,
And I don't care to stay here long!
(Chorus:)
Right up yonder, Christians, away up yonder,
O, yes my Lord, for I don't care to stay here long.
I'm glad that I am born to die,
From grief and woe my soul shall fly,
And I don't care to stay here long!
Bright angels shall convey me home,
Away to New Jerusalem,
And I don't care to stay here long!
(Chorus:)
Right up yonder, Christians, away up yonder,
O, yes my Lord, for I don't care to stay here long.
(Chorus:)
Right up yonder, Christians, away up yonder,
O, yes my Lord, for I don't care to stay here long.
IDUMEA.
And am I born to die?
And lay this body down?
And as my trembling spirits fly
Into a world unknown
A land of deeper shade
Unpierced by human thought
The dreary region of the dead
Where all things are forgot
Soon as from earth I go
What will become of me?
Eternal happiness or woe
Must then my fortune be
Waked by the trumpet's sound
I from my grave shall rise
And see the Judge with glory crowned
And see the flaming skies
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