De telles paroles, un air, un peu entraînant, une belle voix, quelques petits verres d'eau de vie, en voilà plus qu'il n'en faut, aux jours d'émeutes, pour changer de bons ouvriers en rebelles prêts à brûler les maisons, à fusiller les prêtres et à égorger les gendarmes.
Maxime du Camp, Les Convulsions de Paris.
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